Je me souviens
Marie-Agnès, grand-mère de Lénora
« Nous déjeunions dehors avec les petits-enfants, quand le téléphone a sonné. C’était Freddy. J’attendais une bonne nouvelle... mais il en fût autrement. Il nous annonçait que Lénora, notre petite, était partie rejoindre les anges.
Ce fut un choc terrible. Il n’y a pas de mots pour exprimer ce que l’on ressent.
C'était notre unique petite-fille, partie bien trop vite. Déjà 6 ans... le temps passe mais, Lénora, tu resteras dans notre coeur ! »
Ta grand-mère
Ce fut un choc terrible. Il n’y a pas de mots pour exprimer ce que l’on ressent.
C'était notre unique petite-fille, partie bien trop vite. Déjà 6 ans... le temps passe mais, Lénora, tu resteras dans notre coeur ! »
Ta grand-mère
« Merci, maman, pour ton témoignage qui démontre aussi la souffrance des grands-parents. Double souffrance : celle de ne pas avoir la joie de devenir une nouvelle fois grand-parent (en plus d’une petite fille), et celle de voir sa fille et son gendre aussi malheureux et anéantis.
Je sais que dans ces moments-là, vous vous êtes sentis impuissants. Et pourtant, vous avez été présents par toutes vos petites attentions. Vous nous avez proposé votre aide pour aller voir les pompes funèbres, vous nous avez accompagnés le jour de l’enterrement pour voir Lénora à l’hôpital, vous mettez régulièrement des plantes sur sa stèle…
Un grand merci d’avoir été présents. À votre époque, ce sont des évènements qu'on avait plutôt l'habitude de taire. Merci de respecter la façon dont nous faisons vivre Lénora. Et puis il y a des choses que l’on n'a pas l’habitude de se dire dans la famille… Je t’aime maman, je t’aime papa. »
Armelle